Anti-Contrefaçon de marque de vêtements. - Faux.fr https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/ Actualités sur l'anti-contrefaçon et le phishing : faux emails, faux sites web Wed, 17 Sep 2025 14:50:03 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.1 https://faux.fr/wp-content/uploads/2020/04/cropped-logo-faux-32x32.png Anti-Contrefaçon de marque de vêtements. - Faux.fr https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/ 32 32 Quand un faux site Anne Klein se fait épingler https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/quand-un-faux-site-anne-klein-se-fait-epingler/ Wed, 17 Sep 2025 14:48:24 +0000 https://faux.fr/?p=2601 Anne Klein suscite l’attention – et le respect – dans le monde de la mode. La marque américaine Anne Klein, fondée en 1968, se spécialise dans les vêtements, accessoires, montres, sacs à main, bijoux, chaussures…

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Anne Klein suscite l’attention – et le respect – dans le monde de la mode. La marque américaine Anne Klein, fondée en 1968, se spécialise dans les vêtements, accessoires, montres, sacs à main, bijoux, chaussures… Son positionnement élégant, chic et accessible lui confère ainsi une forte notoriété.

Elle vend sur son site officiel anneklein.com des collections—vêtements, chaussures, montres, sacs, bijoux. Elle le fait toujours sous sa marque déposée, avec des logos très reconnaissables, et des designs cohérents, respectant son image de mode féminine, urbaine, sophistiquée. Cette réputation protège alors Anne Klein juridiquement contre toute utilisation non autorisée de sa marque ou de ses logos.

Contexte de la décision UDRP

L’affaire FA2310002065466 concerne le nom de domaine annekleinfactoryoutlet.com, enregistré via Alibaba.com Singapore E-Commerce Private Limited. Il appartient à Client Care / Web Commerce Communications Limited, basé à Kuala Lumpur, Malaisie. Le plaignant est AKWHP, LLC, titulaire des marques « ANNE KLEIN » aux États-Unis, notamment pour vêtements, accessoires, montres, articles de maroquinerie, etc.

Le défendeur n’a pas répondu dans les délais impartis.

Analyse juridique : les trois critères de l’UDRP

Pour qu’une UDRP aboutisse au transfert du nom de domaine au plaignant, trois conditions doivent être remplies (politique ICANN) :

  1. Identité ou similarité confuse entre le nom de domaine et la marque déposée.

  2. Absence de droits ou intérêts légitimes du défendeur dans ce nom de domaine.

  3. Enregistrement et usage de mauvaise foi (bad faith).

1. Identité ou similarité confuse

Le nom de domaine annekleinfactoryoutlet.com incorpore en totalité la marque déposée ANNE KLEIN, plus le terme générique « factory outlet » et le suffixe .com. L’ajout du terme générique « factory outlet » ne suffit donc pas à dissiper la similarité confuse. Le fait que le site reprenait également le logo de la marque en tant qu’en-tête renforçait cette confusion.

2. Absence de droits ou intérêts légitimes

Le défendeur n’est pas connu sous ce nom. De plus, il n’a pas de licence ou autorisation de la part de la marque Anne Klein. Dès lors, il ne fait pas valoir d’usage loyal ou non commercial. De plus, le site web associé utilisait le logo Anne Klein en tant que bannière. Dans ces conditions, il donne l’impression que ce site est officiel. Aucun intérêt légitime n’a donc été reconnu.

3. Enregistrement et usage de mauvaise foi

Le site prétend vendre des produits Anne Klein, utilisant la marque déposée et le logo comme s’il y avait une autorisation. L’objectif est donc d’attirer des internautes en leur faisant croire que ce site était officiel, pour un gain commercial. Le défendeur savait – ou devait savoir – que ces pratiques violaient les droits du plaignant. C’est un usage en mauvaise foi avéré.

Décision de l’UDRP

Le panel, après examen, a ordonné le transfert du nom de domaine annekleinfactoryoutlet.com au plaignant. Les trois éléments exigés par la politique UDRP sont satisfaits :

  • similarité confuse entre le domaine et la marque ;

  • absence de droits légitimes du défendeur ;

  • enregistrement et usage en mauvaise foi.

Le défendeur n’a pas contesté. Le dossier présenté par le plaignant a donc conduit directement à un transfert.

Que révèle ce cas pour la lutte contre les arnaques liées aux noms de domaine ?

Ce cas montre un schéma souvent répété :

  • Un tiers enregistre un nom de domaine qui inclut une marque célèbre + un terme « vendeur » ou « commercial » (ici « factory outlet ») pour tromper le consommateur.

  • Le site prétend revendre des produits authentiques. Il affiche le logo de la marque comme en-tête, créant une illusion d’authenticité.

  • Les internautes sont dirigés vers ce type de site. Ils peuvent alors acheter, donner leurs données personnelles, etc. Risques élevés de contrefaçon ou d’arnaque.

  • Le plaignant doit agir via une procédure UDRP pour obtenir le transfert. Sans réponse du défendeur, la décision est rapide.

Web Commerce Communications, défendeur ici, apparaît dans d’autres affaires du même style. Il s’implique dans des litiges de cybersquatting, contrefaçon, usurpation de marque. Pour plus d’informations sur ses actes, on peut consulter les autres cas sur Faux.fr via le tag Web Commerce Communications

Impacts pour les titulaires de marques comme Anne Klein

Les marques fortes doivent surveiller activement :

  • l’enregistrement de noms de domaine contenant leur nom + termes génériques pour usurpation ;

  • les parutions de sites frauduleux utilisant logos + images de marque (ce qui renforce la confusion) ;

  • être prêts à agir via UDRP ou voies nationales/internationales pour faire cesser ces usages.

Ce cas renforce la jurisprudence où l’ajout de termes comme « outlet », « shop », « store », « sale », etc., ne protège pas du risque de confusion, si la marque est incluse intégralement.

L’UDRP confirme que Anne KLEIN dispose d’une protection forte contre les noms de domaine qui abusent de sa marque pour vendre : le domaine annekleinfactoryoutlet.com a été transféré au plaignant, car il était utilisé pour tromper les internautes en se faisant passer pour le site officiel, avec logo, prétentions de vente de produits Anne Klein.

Ce cas rappelle l’importance pour les marques de surveiller leur nom dans les noms de domaine, et pour les internautes de vérifier l’authenticité d’un site avant achat. Faux.fr continuera de suivre ces litiges, notamment ceux liés à Web Commerce Communications, afin d’alerter sur les usages frauduleux des noms de domaine.

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Une vague de cybersquatting autour des maillots de bain Miraclesuit https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/une-vague-de-cybersquatting-autour-des-maillots-de-bain-miraclesuit/ Fri, 05 Sep 2025 16:16:46 +0000 https://faux.fr/?p=2585 La marque de maillots de bain Miraclesuit fait parler d'elle dans le domaine juridique. Trois noms de domaine , et ont été enregistrés sans autorisation. Ils utilisaient frauduleusement la marque et ses contenus pour tromper les internautes.

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La marque de maillots de bain Miraclesuit fait parler d’elle dans le domaine juridique. Trois noms de domaine <miraclesuitsale.shop>, <miraclesuitoutlet.shop> et <miraclesuitswimwear.shop> ont été enregistrés sans autorisation. Ils utilisaient frauduleusement la marque et ses contenus pour tromper les internautes.

MIRACLE SUIT est une marque américaine spécialisée dans les maillots de bain sculptants pour femmes. Elle existe depuis 1991 et se distingue par des modèles combinant confort, design et qualité. La marque propose ses produits sur miraclesuit.com et via des revendeurs agréés. Les maillots mettent en valeur la silhouette grâce à des tissus innovants. MIRACLE SUIT bénéficie d’une forte notoriété et protège son image par des droits de propriété intellectuelle stricts.

Analyse de l’UDRP autour des maillots de bain Miraclesuit

La société A & H Sportswear Co., Inc., propriétaire de la marque, a déposé une plainte UDRP contre Santa SAR, le registrant des trois domaines. Les sites associés à ces domaines prétendaient vendre les produits MIRACLE SUIT. Ils utilisaient des images et des textes copiés directement du site officiel. Cette pratique crée une confusion évidente et constitue un usage de mauvaise foi.

Le défendeur n’a pas répondu à la plainte. Il a également fourni une fausse adresse dans le registre WhoIS, aggravant l’infraction. Le panel UDRP a jugé que :

  • Les domaines sont confusément similaires à la marque, malgré l’ajout de termes génériques comme « sale », « outlet » ou « swimwear » et l’extension .shop.

  • Le défendeur n’a aucun droit légitime sur ces domaines.

  • L’enregistrement et l’utilisation des domaines montrent une mauvaise foi manifeste, car ils détournaient la clientèle en utilisant les contenus officiels de la marque.

Ainsi, le panel a ordonné le transfert immédiat des trois noms de domaine au profit de la marque. Cette décision FA2308002056411 renforce la protection des marques contre le cybersquatting et les sites frauduleux.

La vigilance pour les marques de maillots de bain

Les marques de swimwear doivent surveiller les enregistrements de noms de domaine similaires. Les sites frauduleux utilisent des techniques de phishing et de contrefaçon pour tromper les clients. Une surveillance proactive et des recours rapides, comme l’UDRP, permettent de protéger l’image et les revenus des marques.

Pour d’autres exemples de contrefaçons dans le secteur des maillots de bain, consultez notre rubrique : maillots de bain

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Jos. A. Bank taille un costume aux cybersquatteurs https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/jos-a-bank-taille-un-costume-aux-cybersquatteurs/ Wed, 03 Sep 2025 15:41:55 +0000 https://faux.fr/?p=2573 Jos. A. Bank affronte une controverse autour de deux noms de domaine litigieux. Dans cette affaire, un Panel UDRP traite des domaines et .

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Jos. A. Bank affronte une controverse autour de deux noms de domaine litigieux. Dans cette affaire, un Panel UDRP traite des domaines <josbankus.store> et <josbankoutlets.store>. Le plaignant allègue que ces domaines créent une confusion évidente avec sa marque. Il demande leur transfert. Le défendeur héberge du contenu qui semble vendre des articles de Jos. A. Bank, sans autorisation.

Présentation de la marque Jos. A. Bank

Jos. A. Bank est une marque américaine spécialisée dans la mode masculine. Elle propose des costumes, chemises, cravates et accessoires élégants pour hommes. La marque est reconnue pour son style classique nord-américain, ses tissus de qualité et ses services en ligne via son site officiel. Elle existe depuis longtemps et se distingue par des costumes professionnels modernes et un service client en magasin ou en ligne (site officiel : josbank.com).

Contexte de la décision UDRP

Jos. A. Bank et les noms de domaine litigieux

Le Panel note dans ce litige FA2307002053981 que les noms de domaine <josbankus.store> et <josbankoutlets.store> reprennent clairement la marque Jos. A. Bank. Ils sont donc confusément similaires, même si les extensions .store sont différentes. L’ajout de termes génériques comme « us » ou « outlets » ne suffit pas à dissiper la confusion. L’élément identique ou similaire est donc retenu.

Le Panel observe que le défendeur connaît clairement la marque Jos. A. Bank. Il imite l’identité visuelle ou verbale de la marque. Il suggère qu’il vend des produits originaux ou affiliés. Cela prouve une connaissance réelle des droits du plaignant, et une volonté d’usurpation d’identité numérique. Le Panel conclut que le défendeur a agi de mauvaise foi.

L’absence de droits ou légitimer l’intérêt

Le défendeur ne présente aucune autorisation de la marque paraître utilisable pour les noms de domaine. Il ne montre pas qu’il est un distributeur légitime ou affilié. Il a créé ou acquis ces noms de domaine pour profiter de la notoriété de la marque et attirer des clients en recherche d’articles Jos. A. Bank. Il ne démontre aucun droit ou intérêt légitime.

Mauvaise foi avérée

Le Panel établit que le défendeur a procédé à l’enregistrement et l’utilisation des domaines dans un but commercial frauduleux. Il cherche clairement à tromper les internautes, à générer du trafic ou à vendre des produits contrefaits ou non autorisés. Il s’agit d’un cas typique de cybersquatting au regard de la politique UDRP : mauvaise foi dans l’enregistrement, commande de confusion, absence d’intérêt légitime, exploitation de la marque.

Le Panel ordonne le transfert des deux noms de domaine litigieux au profit de Jos. A. Bank. Les critères UDRP sont remplis : similitude, absence de droits, mauvaise foi.

Cette décision confirme l’utilité d’une surveillance rigoureuse. Elle illustre clairement comment les noms de domaine peuvent servir à usurper une marque pour vendre de la contrefaçon ou orienter vers du phishing.

Liens et ressources utiles

Pour suivre d’autres affaires similaires concernant la contrefaçon de marques de vêtements, consultez notre rubrique dédiée : Affaires de contrefaçon ciblant des marques de vêtements

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Les copies mal ajustées des vêtements Jigsaw https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/les-copies-mal-ajustees-des-vetements-jigsaw/ Mon, 18 Aug 2025 08:17:13 +0000 https://faux.fr/?p=2529 Les vêtements Jigsaw se trouvent au cœur d’un litige UDRP concernant les noms de domaine et . Les sites exploitaient la réputation de la marque. Ils créaient une confusion directe avec l’offre officielle.

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Les vêtements Jigsaw se trouvent au cœur d’un litige UDRP concernant les noms de domaine <jigsawsale.com> et <fashionjigsaw.com>. Les sites exploitaient la réputation de la marque. Ils créaient une confusion directe avec l’offre officielle.

La marque britannique Jigsaw et son univers

Fondée en 1970, Jigsaw incarne une mode britannique élégante et durable. Son site officiel, jigsaw-online.com, présente des collections contemporaines pour femmes et hommes. La maison privilégie des coupes nettes, des matières de qualité et une fabrication soignée. Elle défend un style intemporel, avec des pièces que l’on porte longtemps. Cette approche attire un public fidèle. Elle attire aussi, hélas, des imitateurs en ligne.

Vêtements Jigsaw : contexte et protection de la marque

D’abord, le nom de domaine <fashionjigsaw.com> a affiché un site web utilisant la marque JIGSAW. Le site a repris le logo, l’identité visuelle et des contenus du plaignant. Surtout, il a proposé une offre de produits. En clair, le nom de domaine litigieux <fashionjigsaw.com> donnait lieu à un site Web affichant la marque JIGSAW et le contenu du site Web du plaignant, ainsi qu’à une offre de vêtements. Ensuite, <jigsawsale.com> a servi d’appel. Il a redirigé les internautes vers <fashionjigsaw.com> afin d’amplifier le trafic et la confusion.

Consolidation : un contrôle commun plus probable qu’improbable

Le Panel a traité la question de la consolidation des défendeurs. Il a relevé plusieurs indices concordants :

  • <jigsawsale.com> a redirigé vers <fashionjigsaw.com> ;
  • la redirection de <jigsawsale.com> est intervenue après la notification de la plainte au Défendeur Dbfg Rbggf ;
  • le contenu affiché sous <fashionjigsaw.com> est quasi identique à celui précédemment publié sous <jigsawsale.com> ;
  • les mêmes coordonnées figurent sur les deux sites ;
  • les deux noms de domaine contiennent la marque JIGSAW dans son intégralité, adjointe à un terme descriptif (“sale” et “fashion”).

Compte tenu de ces éléments, le Panel a jugé qu’un contrôle commun paraissait plus probable qu’improbable. Dès lors, la consolidation des multiples défendeurs s’est révélée équitable pour la Partie. Cette étape a permis une instruction efficace et cohérente.

Application des trois critères UDRP

Premier critère – Similarité. Les deux noms de domaine reproduisent JIGSAW dans son entièreté. Ils ajoutent un terme générique. Le risque de confusion est élevé. Il est immédiat.

Deuxième critère – Absence de droit ou d’intérêt légitime. Les défendeurs n’ont présenté aucun mandat. Ils n’ont établi aucun usage loyal. Ils ont copié la marque et des éléments du site officiel pour vendre des produits.

Troisième critère – Enregistrement et usage de mauvaise foi. Les défendeurs ont attiré des internautes vers un site qui imite l’offre officielle. Ils ont redirigé un nom de domaine vers l’autre après la plainte. Ils ont tiré avantage de la renommée de Jigsaw. Les faits démontrent une volonté de tromper.

En conséquence, le Panel a ordonné le transfert de <jigsawsale.com> et <fashionjigsaw.com> au profit du plaignant.

Bonnes pratiques pour les titulaires : surveiller, agir, documenter

Cette affaire D2023-2023 fournit des enseignements concrets. D’abord, surveiller les enregistrements contenant la marque et des termes descriptifs liés aux vêtements Jigsaw. Ensuite, agir vite en cas de copie du contenu officiel ou de redirection suspecte. Enfin, documenter les preuves : captures, historiques, coordonnées, flux de redirection. Ces éléments facilitent la consolidation et la démonstration de la mauvaise foi.

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🩱 Quand la marque de shapewear Skims gaine des sites de contrefaçon https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/shapewear-skims-gaine-des-sites-de-contrefacon/ Tue, 05 Aug 2025 07:50:21 +0000 https://faux.fr/?p=2499 La marque shapewear Skims a été la cible d’une attaque massive de cybersquatting de 37 noms de domaine enregistrés sans droit, utilisés pour vendre de la contrefaçon. Le défendeur, Web Commerce Communications, a tenté d’exploiter la notoriété de la marque.

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La marque shapewear Skims a été la cible d’une attaque massive de cybersquatting. Une affaire UDRP, rendue par l’OMPI, concerne 37 noms de domaine enregistrés sans droit, utilisés pour vendre de la contrefaçon. Le défendeur, Web Commerce Communications, a tenté d’exploiter la notoriété de la marque. Il a été sanctionné.

Une marque Skims au succès mondial

SKIMS, marque américaine cofondée par Kim Kardashian et Jens Grede, propose du shapewear, des sous-vêtements, des vêtements de sport et des articles de détente. La marque se distingue par son inclusivité, ses tailles variées et son marketing puissant. Le site officiel, skims.com, attire une clientèle internationale fidèle. Son image haut de gamme en fait une cible fréquente pour les contrefacteurs.

Des noms de domaine pour tromper les consommateurs

Les noms de domaine visés par la plainte reprennent tous la marque SKIMS. Ils ciblent des pays spécifiques, comme :

  • <skims-argentina.com>

  • <skims-australia.com>

  • <skimsbelgium.com>

  • <skims-canada.com>

  • <skimsusa.com>

Ils redirigeaient principalement vers des sites frauduleux. Ces pages affichaient le logo SKIMS, des photos officielles de produits, et utilisaient la marque déposée. Les visiteurs pouvaient y acheter de prétendus produits SKIMS à prix cassés. Aucun avertissement légal n’était affiché. Aucune clause de non-responsabilité n’était visible. Certains sites mentionnaient même des droits d’auteur, renforçant l’illusion de légitimité.

Une décision UDRP exemplaire

La société Skims Body Inc. a prouvé que les noms de domaine étaient :

  • confusément similaires à ses marques,

  • enregistrés sans droit,

  • et utilisés de mauvaise foi.

Le défendeur ne disposait d’aucune autorisation. Il a agi pour tirer profit de la réputation de Skims. L’expert UDRP a donc ordonné le transfert des 37 noms de domaine au plaignant.

Un acteur récidiviste : Web Commerce Communications

Le défendeur, Web Commerce Communications Limited, est un habitué des décisions UDRP. Ce nom revient souvent dans des affaires de cybersquatting et de vente de contrefaçons.

📌 Consultez toutes les affaires liées à cet acteur sur notre page dédiée.

Il utilise toujours la même méthode : enregistrer des noms proches de marques connues, créer des sites trompeurs, et détourner les consommateurs. Ces pratiques nuisent gravement aux marques et à la confiance des acheteurs.

Pourquoi surveiller les noms de domaine est indispensable

L’affaire shapewear Skims est un exemple clair. Le cybersquattage ne touche pas seulement les grandes entreprises technologiques. Les marques de mode, de beauté et de sport sont de plus en plus ciblées. Une vigilance constante est essentielle.

➡ En surveillant activement les noms de domaine, une marque peut anticiper les attaques et protéger sa réputation.

La procédure UDRP n° D2023-4777 a permis à Skims Body Inc. de reprendre le contrôle de 37 noms de domaine frauduleux. Grâce à cette action rapide, la marque a fait retirer des sites qui proposaient des produits contrefaits. L’affaire illustre l’importance de la défense active des marques sur Internet.


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Les vêtements de golf Greyson sortent le driver contre la contrefaçon https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/les-vetements-de-golf-greyson-sortent-le-driver-contre-la-contrefacon/ Wed, 23 Jul 2025 07:30:16 +0000 https://faux.fr/?p=2461 Les vêtements de golf Greyson ont remporté une victoire décisive en procédure UDRP face à un site usurpant leur identité.

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Les vêtements de golf Greyson ont remporté une victoire décisive face à un site usurpant leur identité. Le nom de domaine litigieux <golfgreyson.com> a été transféré au titulaire légitime à la suite d’une procédure UDRP menée devant l’OMPI. Cette décision rappelle l’importance d’une vigilance accrue face à la contrefaçon en ligne dans le secteur du prêt-à-porter sportif.

Greyson : une marque emblématique dans l’univers du golf haut de gamme

Greyson Clothiers conçoit et vend des vêtements de golf haut de gamme pour hommes et femmes. Fondée par un ancien designer de Ralph Lauren, la marque allie style, performance et technicité. Son logo emblématique représentant un loup symbolise la force, la loyauté et l’endurance. Greyson s’est rapidement imposée comme une référence dans le milieu du golf, habillant aussi bien les professionnels que les passionnés exigeants. Son site officiel est accessible à l’adresse suivante : greysonclothiers.com.

Une imitation trompeuse des vêtements de golf Greyson

Dans l’affaire UDRP n° D2023-1622, le plaignant, Greyson Clothiers, a contesté l’enregistrement du nom de domaine <golfgreyson.com> par un tiers non autorisé. Le site web correspondant présentait des produits similaires à ceux de la marque, dans un environnement graphique imitant celui du plaignant. Il arborait également le logo “Greyson & Wolf”, créant un risque élevé de confusion.

Le plaignant a démontré que le défendeur connaissait la marque GREYSON avant l’enregistrement du nom de domaine. En effet, l’usage du logo Greyson & Wolf, la typographie et la présentation des produits constituaient autant d’indices prouvant cette connaissance préalable. Cette exploitation délibérée de la notoriété de la marque a été qualifiée de mauvaise foi opportuniste.

Utilisation en mauvaise foi et confusion avec les marques Greyson

Le panel de l’OMPI a constaté que le nom de domaine litigieux est identique ou similaire à la marque GREYSON. Il a également noté que l’usage du domaine <golfgreyson.com> crée une confusion quant à l’origine des produits proposés. Les visiteurs peuvent croire que le site du défendeur est affilié ou autorisé par la marque officielle.

En réalité, le défendeur proposait des produits non autorisés ou contrefaits, profitant de la réputation de Greyson pour vendre des articles qui complétaient ou imitaient ceux du plaignant. Cette stratégie commerciale reposait sur la tromperie des consommateurs.

Le nom de domaine transféré à Greyson Clothiers

L’OMPI a jugé que toutes les conditions de la procédure UDRP étaient réunies :

  • Un nom de domaine similaire à une marque déposée

  • L’absence de droits ou d’intérêts légitimes du défendeur

  • L’enregistrement et l’utilisation du nom de domaine de mauvaise foi

Le panel a donc ordonné le transfert du nom de domaine <golfgreyson.com> au profit de Greyson Clothiers.

Une décision exemplaire contre la contrefaçon dans le golf

Cette affaire illustre encore une fois l’importance des procédures UDRP dans la lutte contre la contrefaçon de vêtements de golf. D’autres marques emblématiques du secteur ont été confrontées à des situations similaires, comme :

Pour consulter d’autres décisions concernant les vêtements de golf, vous pouvez visiter la rubrique dédiée ici.

La décision UDRP D2023-1622 montre comment des marques comme Greyson peuvent défendre efficacement leurs droits face à l’usurpation numérique. Les titulaires de marques doivent surveiller activement les enregistrements abusifs de noms de domaine. Les cabinets spécialisés en propriété intellectuelle peuvent s’appuyer sur des procédures extrajudiciaires telles que l’UDRP pour obtenir des résultats rapides et concrets.

La vigilance reste de mise, surtout dans des secteurs aussi ciblés par la contrefaçon que celui des vêtements de golf Greyson.

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Contrefaçon dans l’air(e) : les vêtements AERE raflent la mise face à un site frauduleux https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/vetements-aere/ Sat, 12 Jul 2025 08:09:27 +0000 https://faux.fr/?p=2443 Les vêtements AERE ont fait l’objet d’une nouvelle usurpation numérique. La société Internet Services Australia 1 Pty Ltd a obtenu le transfert du nom de domaine aeresale.com.

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Les vêtements AERE ont fait l’objet d’une nouvelle usurpation numérique. La société Internet Services Australia 1 Pty Ltd a obtenu le transfert du nom de domaine aeresale.com. L’OMPI a rendu sa décision le 11 juillet 2023, dans l’affaire UDRP n° D2023-1481.

Une marque australienne en plein essor

Le plaignant exerce dans le commerce en ligne depuis 2011. Il vend des vêtements, chaussures et accessoires. Ses activités couvrent l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Il propose des produits de marques internationales, mais aussi ses propres marques de distributeur.

Parmi celles-ci figure AERE, une marque textile haut de gamme. Elle repose sur un design épuré, des matières naturelles et une esthétique minimaliste. Les vêtements AERE visent une clientèle soucieuse de style et de durabilité. La société a enregistré la marque AERE dans plusieurs juridictions, ainsi que des déclinaisons.

Un nom de domaine trompeur ciblant les vêtements AERE

Le nom de domaine aeresale.com a été enregistré le 18 mars 2022. Il redirigeait vers un site web prétendant vendre les produits AERE. Cependant, le plaignant n’avait jamais autorisé l’exploitation de sa marque. Le site reproduisait le style de la boutique officielle. Il imitait son univers graphique et suggérait un lien commercial inexistant.

Ainsi, les internautes pouvaient croire à une boutique affiliée. En réalité, ce site portait atteinte à la marque AERE. Il détournait la clientèle, semait la confusion, et exposait les consommateurs à des risques d’arnaques.

Une récidive manifeste du défendeur

Ce n’est pas la première fois que le défendeur vise la marque AERE. En 2022, une autre procédure UDRP (affaire n° D2022-4024) avait déjà conduit au transfert du nom de domaine shopaere.com. Cette adresse trompeuse utilisait également la marque AERE sans autorisation.

Le défendeur est le même dans les deux affaires. Cela montre un schéma d’usurpation répété. Il tente de capter la réputation de la marque pour générer un trafic illicite. Ce comportement constitue un cas classique de cybersquatting.

Les vêtements AERE protégés grâce à la procédure UDRP

Le plaignant a démontré les trois critères exigés par la politique UDRP :

  1. Le nom de domaine est identique ou similaire à une marque.

  2. Le défendeur ne possède aucun droit ni intérêt légitime.

  3. L’enregistrement a été réalisé et utilisé de mauvaise foi.

Le défendeur n’a pas répondu à la plainte. Il n’a fourni aucun élément pour justifier ses droits. Par conséquent, la commission administrative a ordonné le transfert du nom de domaine au plaignant.

Une victoire importante pour la marque AERE

Cette décision confirme l’efficacité de l’UDRP contre les abus numériques. Elle protège les vêtements AERE contre l’usurpation de marque sur Internet. Elle réaffirme aussi le droit des titulaires à défendre leur image en ligne.

Face à ce type de contrefaçon, la surveillance des noms de domaine reste essentielle. En cas de litige, la procédure UDRP permet une résolution rapide et internationale.

Grâce à cette action, la marque AERE a retrouvé le contrôle de son identité numérique.

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La marque FILSON défendue avec succès face au nom de domaine trompeur filson-shop.com https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/marque-filson-nom-de-domaine-trompeur/ Tue, 01 Jul 2025 02:41:49 +0000 https://faux.fr/?p=2412 La marque Filson a remporté une procédure UDRP contre le nom de domaine . Cette décision, rendue par le Forum (NAF) sous la référence FA2305002044519, concerne un site qui imitait illégalement l’identité visuelle de la marque.

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La marque Filson a remporté une procédure UDRP contre le nom de domaine <filson-shop.com>. Cette décision, rendue par le Forum (NAF) sous la référence FA2305002044519, concerne un site qui imitait illégalement l’identité visuelle de la marque. Le défendeur a utilisé le nom Filson dans un but commercial, sans autorisation. Le panel a ordonné le transfert du nom de domaine.

Marque Filson : une référence dans les vêtements outdoor

La marque Filson, fondée à Seattle en 1897, est reconnue dans le monde entier. Elle propose des vêtements, sacs et accessoires robustes. Son public ? Les amateurs d’activités de plein air comme la chasse, la pêche ou la randonnée. La marque mise sur des matières haut de gamme, comme la toile cirée ou la laine vierge. Elle combine héritage américain, durabilité et savoir-faire artisanal. Filson possède une boutique en ligne officielle et un réseau de distributeurs agréés.

Un site frauduleux usurpait la marque Filson

Le nom de domaine <filson-shop.com> renvoyait vers un site web frauduleux. Ce site se présentait comme une boutique officielle de la marque Filson. Il affichait le logo Filson, des visuels de produits copiés et des textes extraits du site officiel. Le tout sans l’autorisation de la marque.

Ce type d’imitation trompe les internautes. Ils croient acheter des produits authentiques, mais il s’agit souvent de contrefaçons.

En plus, les risques sont nombreux : perte d’argent, réception de produits falsifiés, vol de données personnelles. La confusion est manifeste.

La procédure UDRP a protégé la marque Filson

Le panel a retenu les trois critères exigés par la procédure UDRP :

  1. Nom de domaine identique ou similaire : Le nom <filson-shop.com> contient la marque Filson dans son intégralité. L’ajout du mot “shop” accentue la confusion.

  2. Absence de droits ou d’intérêt légitime : Le défendeur n’est ni licencié, ni distributeur officiel. Il n’a présenté aucun usage légitime.

  3. Enregistrement et usage de mauvaise foi : Le site visait clairement à exploiter la notoriété de la marque Filson. Le contenu copiait les éléments du site officiel. L’intention de tromper était évidente.

Le transfert du nom de domaine a donc été ordonné en faveur de C.C. Filson Company.

Pourquoi la vigilance est essentielle pour la marque Filson

Cette affaire montre l’importance d’une surveillance active des noms de domaine. Les marques comme Filson doivent rester attentives aux abus. Les outils proposés par Solidnames aident à détecter rapidement les cas de cybersquatting.

La procédure UDRP est rapide, efficace, et peu coûteuse. Elle permet de récupérer un nom de domaine sans passer par les tribunaux. Cependant, la rapidité de réaction reste cruciale. Plus l’abus dure, plus les dommages sont importants.

La marque Filson a su défendre ses droits face à une tentative d’usurpation manifeste. L’usage non autorisé de son nom et de son logo sur un site frauduleux constituait une contrefaçon. Grâce à l’UDRP, elle a pu récupérer le nom de domaine. Ce cas rappelle à toutes les marques l’importance d’une stratégie de défense numérique efficace.

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Contrefaçon en ligne : une décision UDRP favorable à la marque de vêtements DAZIE https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/contrefacon-udrp-marque-de-vetements-dazie/ Tue, 17 Jun 2025 02:28:28 +0000 https://faux.fr/?p=2403 Les vêtements DAZIE ont été récemment la cible d’une tentative d’usurpation numérique. Le litige concernait le nom de domaine . La procédure UDRP engagée par la titulaire de la marque s’est soldée par une victoire.

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Les vêtements DAZIE ont été récemment la cible d’une tentative d’usurpation numérique. Le litige concernait le nom de domaine <dazieshop.com>. La procédure UDRP engagée par la titulaire de la marque s’est soldée par une victoire. En effet, l’OMPI a reconnu une utilisation frauduleuse du nom de domaine. Le site visé reproduisait les contenus officiels de DAZIE et prétendait vendre ses produits.

DAZIE : une marque de vêtements en pleine expansion

Depuis 2018, DAZIE s’impose comme une marque de vêtements pour femmes, vendue exclusivement sur le site australien The Iconic. Elle propose des robes, pantalons, tops, chaussures et accessoires. Grâce à son style moderne, ses prix accessibles et une image bien construite, la marque attire une clientèle jeune et connectée.

En conséquence, DAZIE connaît une forte croissance. Toutefois, cette visibilité accrue attire aussi les fraudeurs. Notamment, ceux qui exploitent des noms de domaine trompeurs pour capter indûment du trafic ou abuser de la réputation de la marque.

Un site frauduleux utilisant la marque de vêtements DAZIE

Le nom de domaine <dazieshop.com> a été enregistré en 2022. Dès son activation, il a affiché un site e-commerce. Celui-ci copiait substantiellement le site officiel de DAZIE. Il utilisait :

  • le logo,

  • les descriptions produits,

  • les photos officielles,

  • et l’identité visuelle globale.

Par conséquent, le site induisait les consommateurs en erreur. Il donnait l’impression d’être un revendeur autorisé des vêtements DAZIE. En réalité, il s’agissait d’un site pirate. Aucun lien n’existait entre la marque DAZIE et le titulaire du nom de domaine.

Une application rigoureuse des critères UDRP

Pour obtenir le transfert du nom de domaine, la plaignante devait démontrer trois éléments :

  1. Le nom de domaine est identique ou similaire à la marque.

  2. Le défendeur n’a aucun droit ou intérêt légitime.

  3. L’usage a été fait de mauvaise foi.

Tout d’abord, l’ajout du mot “shop” au nom de la marque n’élimine pas la confusion. En effet, le nom de domaine <dazieshop.com> reste visuellement et phonétiquement très proche de “DAZIE”.

Ensuite, le défendeur n’a fourni aucun argument. De plus, son identité a été masquée via un service d’anonymisation.

Enfin, la copie des contenus montre clairement une intention frauduleuse. Le site tentait de tirer profit de la réputation des vêtements DAZIE, en trompant les internautes.

Une procédure efficace pour protéger les marques de vêtements DAZIE

L’expert de l’OMPI en charge de cette décision D2023-1512 a ordonné le transfert du nom de domaine <dazieshop.com> à la marque DAZIE.

Ainsi, cette décision illustre l’efficacité de la procédure UDRP. Non seulement elle protège les titulaires de marques, mais aussi les consommateurs.

En l’espèce, l’atteinte était manifeste. Le site litigieux reproduisait des éléments protégés. Il portait atteinte à la marque DAZIE. De surcroît, il induisait les clients en erreur, au détriment de leur confiance.

Les marques doivent rester vigilantes

Les acteurs du secteur de la mode, comme DAZIE, doivent mettre en place une surveillance active des noms de domaine. Grâce à des outils adaptés, ils peuvent détecter les abus rapidement.

De plus, la procédure UDRP reste un levier juridique puissant. Elle permet de lutter efficacement contre le cybersquattage, sans passer par les tribunaux.

En définitive, cette affaire renforce l’importance d’une stratégie numérique solide pour toutes les marques actives en ligne. Les vêtements DAZIE ont été protégés. D’autres marques peuvent suivre cet exemple.

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Christopher Esber face au cybersquattage https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/christopher-esber-cybersquattage/ Sat, 14 Jun 2025 07:57:00 +0000 https://faux.fr/?p=2415 Le nom Christopher Esber est une marque reconnue dans le secteur de la mode. Une décision extrajudiciaire UDRP illustre les défis liés à la protection de cette marque sur Internet.

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Le nom Christopher Esber est une marque reconnue dans le secteur de la mode. La décision extrajudiciaire UDRP D2023-1792 illustre les défis liés à la protection de cette marque sur Internet. Cette affaire concerne le nom de domaine <christopheresbershop.com>.

Christopher Esber, une marque australienne de mode haut de gamme

Christopher Esber est une marque australienne spécialisée dans le prêt-à-porter féminin de luxe. Le créateur Christopher Esber propose des collections modernes et élégantes. Sa marque bénéficie d’une solide réputation internationale. Sur son site officiel (https://christopheresber.com.au/), la marque présente ses produits haut de gamme. Elle contrôle rigoureusement son image et protège ses droits sur Internet.

Le cas <christopheresbershop.com> : contexte et enjeux

Le nom de domaine <christopheresbershop.com> reprend la marque en y ajoutant le mot générique « shop ». Ce site vend des produits qui se présentent comme ceux de la marque. Cependant, ces articles sont proposés à des prix très bas. En réalité, la marque n’a jamais autorisé cette vente. Cette situation crée un risque de confusion pour les consommateurs. De plus, elle nuit à la réputation de la marque.

Décision UDRP D2023-1792 : motifs et analyse juridique

La procédure UDRP a évalué trois critères essentiels.

  • Premièrement, le nom de domaine est presque identique à la marque. L’ajout de « shop » ne suffit pas à dissiper la confusion.

  • Deuxièmement, le titulaire du domaine ne possède aucun droit légitime sur ce nom. Il ne justifie d’aucune autorisation ni lien commercial avec la marque.

  • Enfin, le domaine a été enregistré et utilisé de mauvaise foi. L’objectif est clairement de profiter de la renommée de la marque.

Par conséquent, le Centre d’Arbitrage de l’OMPI a ordonné le transfert du nom de domaine au plaignant, c’est-à-dire au propriétaire de la marque Christopher Esber.

Christopher Esber : protéger sa marque sur Internet

Cette décision confirme l’importance d’une veille active des noms de domaine. Les titulaires de marques comme Christopher Esber doivent surveiller tout usage abusif de leurs signes distinctifs. Le cybersquattage représente une menace constante. En effet, des tiers peuvent tenter d’exploiter la notoriété d’une marque à des fins frauduleuses. L’UDRP constitue un outil juridique efficace pour agir rapidement.

Les entreprises doivent aussi sensibiliser leurs conseils juridiques à ces risques. Solidnames.fr accompagne les marques dans la surveillance, la gestion et la récupération de noms de domaine litigieux. La décision D2023-1792 montre qu’une action ciblée et rapide protège les droits et la réputation des marques sur Internet.

En conclusion, la décision UDRP D2023-1792 protège la marque Christopher Esber contre un usage frauduleux du nom de domaine <christopheresbershop.com>. Elle rappelle que la vigilance et la réactivité sont essentielles pour défendre une marque face au cybersquattage.

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