Archives des Maillots de bain - Faux.fr https://faux.fr/tag/maillots-de-bain/ Actualités sur l'anti-contrefaçon et le phishing : faux emails, faux sites web Fri, 05 Sep 2025 16:17:41 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.1 https://faux.fr/wp-content/uploads/2020/04/cropped-logo-faux-32x32.png Archives des Maillots de bain - Faux.fr https://faux.fr/tag/maillots-de-bain/ 32 32 Une vague de cybersquatting autour des maillots de bain Miraclesuit https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/une-vague-de-cybersquatting-autour-des-maillots-de-bain-miraclesuit/ Fri, 05 Sep 2025 16:16:46 +0000 https://faux.fr/?p=2585 La marque de maillots de bain Miraclesuit fait parler d'elle dans le domaine juridique. Trois noms de domaine , et ont été enregistrés sans autorisation. Ils utilisaient frauduleusement la marque et ses contenus pour tromper les internautes.

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La marque de maillots de bain Miraclesuit fait parler d’elle dans le domaine juridique. Trois noms de domaine <miraclesuitsale.shop>, <miraclesuitoutlet.shop> et <miraclesuitswimwear.shop> ont été enregistrés sans autorisation. Ils utilisaient frauduleusement la marque et ses contenus pour tromper les internautes.

MIRACLE SUIT est une marque américaine spécialisée dans les maillots de bain sculptants pour femmes. Elle existe depuis 1991 et se distingue par des modèles combinant confort, design et qualité. La marque propose ses produits sur miraclesuit.com et via des revendeurs agréés. Les maillots mettent en valeur la silhouette grâce à des tissus innovants. MIRACLE SUIT bénéficie d’une forte notoriété et protège son image par des droits de propriété intellectuelle stricts.

Analyse de l’UDRP autour des maillots de bain Miraclesuit

La société A & H Sportswear Co., Inc., propriétaire de la marque, a déposé une plainte UDRP contre Santa SAR, le registrant des trois domaines. Les sites associés à ces domaines prétendaient vendre les produits MIRACLE SUIT. Ils utilisaient des images et des textes copiés directement du site officiel. Cette pratique crée une confusion évidente et constitue un usage de mauvaise foi.

Le défendeur n’a pas répondu à la plainte. Il a également fourni une fausse adresse dans le registre WhoIS, aggravant l’infraction. Le panel UDRP a jugé que :

  • Les domaines sont confusément similaires à la marque, malgré l’ajout de termes génériques comme « sale », « outlet » ou « swimwear » et l’extension .shop.

  • Le défendeur n’a aucun droit légitime sur ces domaines.

  • L’enregistrement et l’utilisation des domaines montrent une mauvaise foi manifeste, car ils détournaient la clientèle en utilisant les contenus officiels de la marque.

Ainsi, le panel a ordonné le transfert immédiat des trois noms de domaine au profit de la marque. Cette décision FA2308002056411 renforce la protection des marques contre le cybersquatting et les sites frauduleux.

La vigilance pour les marques de maillots de bain

Les marques de swimwear doivent surveiller les enregistrements de noms de domaine similaires. Les sites frauduleux utilisent des techniques de phishing et de contrefaçon pour tromper les clients. Une surveillance proactive et des recours rapides, comme l’UDRP, permettent de protéger l’image et les revenus des marques.

Pour d’autres exemples de contrefaçons dans le secteur des maillots de bain, consultez notre rubrique : maillots de bain

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🩱 Quand la marque de shapewear Skims gaine des sites de contrefaçon https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/shapewear-skims-gaine-des-sites-de-contrefacon/ Tue, 05 Aug 2025 07:50:21 +0000 https://faux.fr/?p=2499 La marque shapewear Skims a été la cible d’une attaque massive de cybersquatting de 37 noms de domaine enregistrés sans droit, utilisés pour vendre de la contrefaçon. Le défendeur, Web Commerce Communications, a tenté d’exploiter la notoriété de la marque.

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La marque shapewear Skims a été la cible d’une attaque massive de cybersquatting. Une affaire UDRP, rendue par l’OMPI, concerne 37 noms de domaine enregistrés sans droit, utilisés pour vendre de la contrefaçon. Le défendeur, Web Commerce Communications, a tenté d’exploiter la notoriété de la marque. Il a été sanctionné.

Une marque Skims au succès mondial

SKIMS, marque américaine cofondée par Kim Kardashian et Jens Grede, propose du shapewear, des sous-vêtements, des vêtements de sport et des articles de détente. La marque se distingue par son inclusivité, ses tailles variées et son marketing puissant. Le site officiel, skims.com, attire une clientèle internationale fidèle. Son image haut de gamme en fait une cible fréquente pour les contrefacteurs.

Des noms de domaine pour tromper les consommateurs

Les noms de domaine visés par la plainte reprennent tous la marque SKIMS. Ils ciblent des pays spécifiques, comme :

  • <skims-argentina.com>

  • <skims-australia.com>

  • <skimsbelgium.com>

  • <skims-canada.com>

  • <skimsusa.com>

Ils redirigeaient principalement vers des sites frauduleux. Ces pages affichaient le logo SKIMS, des photos officielles de produits, et utilisaient la marque déposée. Les visiteurs pouvaient y acheter de prétendus produits SKIMS à prix cassés. Aucun avertissement légal n’était affiché. Aucune clause de non-responsabilité n’était visible. Certains sites mentionnaient même des droits d’auteur, renforçant l’illusion de légitimité.

Une décision UDRP exemplaire

La société Skims Body Inc. a prouvé que les noms de domaine étaient :

  • confusément similaires à ses marques,

  • enregistrés sans droit,

  • et utilisés de mauvaise foi.

Le défendeur ne disposait d’aucune autorisation. Il a agi pour tirer profit de la réputation de Skims. L’expert UDRP a donc ordonné le transfert des 37 noms de domaine au plaignant.

Un acteur récidiviste : Web Commerce Communications

Le défendeur, Web Commerce Communications Limited, est un habitué des décisions UDRP. Ce nom revient souvent dans des affaires de cybersquatting et de vente de contrefaçons.

📌 Consultez toutes les affaires liées à cet acteur sur notre page dédiée.

Il utilise toujours la même méthode : enregistrer des noms proches de marques connues, créer des sites trompeurs, et détourner les consommateurs. Ces pratiques nuisent gravement aux marques et à la confiance des acheteurs.

Pourquoi surveiller les noms de domaine est indispensable

L’affaire shapewear Skims est un exemple clair. Le cybersquattage ne touche pas seulement les grandes entreprises technologiques. Les marques de mode, de beauté et de sport sont de plus en plus ciblées. Une vigilance constante est essentielle.

➡ En surveillant activement les noms de domaine, une marque peut anticiper les attaques et protéger sa réputation.

La procédure UDRP n° D2023-4777 a permis à Skims Body Inc. de reprendre le contrôle de 37 noms de domaine frauduleux. Grâce à cette action rapide, la marque a fait retirer des sites qui proposaient des produits contrefaits. L’affaire illustre l’importance de la défense active des marques sur Internet.


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Vix Paula Hermanny face à un faux site de maillots de bain https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/vix-paula-hermany-maillots-de-bain/ Tue, 01 Apr 2025 04:05:03 +0000 https://faux.fr/?p=2288 Vix Paula Hermanny remporte une procédure extrajudiciaire « UDRP » contre un nom de domaine utilisé pour un faux site de maillot de bain.

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Vix Paula Hermanny remporte une procédure extrajudiciaire « UDRP » contre un nom de domaine utilisé pour un faux site de maillot de bain.

Vix Swimwear, Inc., entreprise américaine, a gagné le litige numéro D2023-1169 concernant le nom de domaine <vixpaulabeauty.com>. L’affaire a opposé Vix Swimwear à un résident chinois, devant le Centre d’Arbitrage et de Médiation de l’OMPI.

La marque Vix Paula Hermanny et ses droits

Vix Swimwear est une marque de maillot de bain de luxe fondée en 1998 aux États-Unis. Elle commercialise ses produits sous le nom « Vix Paula Hermanny ». A ce titre, elle détient plusieurs enregistrements de marque. C’est notamment aux le cas États-Unis. Son site officiel présente ses collections haut de gamme, réputées pour leur élégance et leur qualité. Ils sont parfaits pour passer un moment à la piscine ou plonger dans la mer.

Dans le cadre du litige, Vix Swimwear a démontré que le nom de domaine <vixpaulabeauty.com> reprend une partie dominante de sa marque. C’est à dire « Vix Paula ». L’ajout du mot « beauty » est jugé insuffisant pour éviter toute confusion avec la marque enregistrée.

Un usage frauduleux du nom de domaine portant atteinte à la marque Vix Paula Hermanny

L’OMPI a ainsi constaté que le site web lié à <vixpaulabeauty.com> a utilisé la marque et les produits de Vix Paula Hermanny de manière trompeuse. Cette pratique renforce donc la ressemblance avec le site officiel de la marque. Elle induit alors les consommateurs en erreur. De plus, aucune preuve ne démontre que le défendeur est légitimement connu sous ce nom de domaine. De surcroit, il ne propose pas une offre commerciale de bonne foi.

Après analyse des faits, l’OMPI a donc conclu que le cybersquatteur n’a aucun droit ou intérêt légitime sur le nom de domaine. En fait, il a agi de mauvaise foi. En effet, il l’a fait en cherchant à exploiter la notoriété de Vix Paula Hermanny. Conformément aux règles de l’ICANN, l’expert OMPI a ordonné le transfert du nom de domaine <vixpaulabeauty.com> à Vix Swimwear.

Cette affaire illustre l’importance de la protection des marques sur Internet. D’autres marques de maillot de bain ont déjà été contrefaites sur internet. City Beach ou Seafolly ont déjà gagné des procédures « UDRP » contre de faux site web.

Cette nouvelle décision de l’OMPI confirme que les entreprises doivent surveiller activement l’utilisation de leurs noms et marques sur le web. Elle le font pour éviter toute exploitation frauduleuse. Pour Vix Paula Hermanny, ce jugement constitue une victoire contre la contrefaçon et la concurrence déloyale.

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Un faux e-commerce City Beach de maillots de bain https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/city-beach-maillots-de-bain/ Tue, 03 Sep 2024 15:31:02 +0000 https://faux.fr/?p=2089 L’enseigne australienne City Beach gagne une procédure extrajudiciaire « UDRP » contre un faux site de maillots de bain. Il est vrai qu’en Australie, l’entreprise est un des leaders de la mode australienne. City Beach vend des maillots de bain tendance, du surf, du skate et de la mode urbaine pour femmes, hommes et enfants. Elle le […]

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L’enseigne australienne City Beach gagne une procédure extrajudiciaire « UDRP » contre un faux site de maillots de bain.

Il est vrai qu’en Australie, l’entreprise est un des leaders de la mode australienne. City Beach vend des maillots de bain tendance, du surf, du skate et de la mode urbaine pour femmes, hommes et enfants. Elle le fait en ligne et dans ses boutiques.

La société a commencé son activité en 1985 dans une petite boutique. L’établissement est alors situé juste à côté du centre commercial Queen Street à Brisbane, dans le Queensland.

Elle dispose désormais de son entrepôt et de son siège social australien. City Beach est reconnue comme l’une des plus grandes entreprises d’Australie dans le secteur de la vente au détail de vêtements multi-marques. Elle vend ainsi des produits estampillés Adidas, Billabong, Converse, Crocs, Nike SB ou Vans.

City Beach exporte également vers de nombreux pays à l’échelle internationale. Elle le fait notamment aux États-Unis d’Amérique. C’est son troisième marché le plus important après l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

La compagnie est propriétaire de plusieurs marques CITY BEACH dont CITY BEACH AUSTRALIA ou CITY BEACH USA.

En outre, la marque détient et exploite les noms de domaine (et les sites web associés) <citybeach.com> et <citybeach.com.au>.

Acheté sur le faux site City Beach, les maillots de bain ne sont jamais arrivés

Un tiers chinois a pourtant enregistré le nom de domaine litigieux <citybeachsale.com> en 2022. Les enregistrements de marques CITY BEACH sont antérieurs à l’enregistrement du nom de domaine litigieux.

De plus, le nom de domaine litigieux correspond à un site web sur lequel la marque et le logo CITY BEACH sont affichés.

Des images photographiques de mannequins portant des maillots de bain commercialisés par CITY BEACH et tirées du site officiel sont aussi reprises.

En conséquence, la marque a engagé une procédure extrajudiciaire « UDRP » numéro D2022-4558 auprès de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI).

En effet, le nom de domaine litigieux contient la marque CITY BEACH. Il ajoute seulement le terme « sale » (vente en anglais). L’ajout dans le nom de domaine litigieux du terme « sale » n’empêche évidemment pas de constater une similitude pouvant prêter à confusion avec la marque CITY BEACH.

Le représentant de la marque a tenté d’acheter des maillots de bain sur le site. Cependant, aucun produit n’a été reçu, malgré le fait que l’argent ait été pris.

L’utilisation du nom de domaine litigieux pour une activité illégale ne peut jamais conférer des droits ou des intérêts légitimes au cybersquatteur.

Ce n’est pas la première fois que de faux sites vendent des maillots de bain. Dans les colonnes de Faux.fr, nous avons notamment traité du litige visant la marque de maillots de bain Seafolly.

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Un faux site de maillots de bain Seafolly https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/maillots-de-bain-seafolly/ https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/maillots-de-bain-seafolly/#respond Fri, 06 Oct 2023 07:13:10 +0000 https://faux.fr/?p=1663 La marque de maillots de bain Seafolly obtient le transfert d’un nom de domaine hébergeant un faux site internet imitant son site officiel.

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La marque de maillots de bain Seafolly obtient le transfert d’un nom de domaine hébergeant un faux site internet imitant son site officiel.

Seafolly est une marque de maillots de bain (ex : bikinis, une pièce), vêtements de plage et accessoires pour femmes.

La firme est un concepteur, fabricant, grossiste et détaillant à succès de maillots de bain et d’accessoires connexes en référence à la marque Seafolly. La marque se porte aussi bien pour aller à la plage, à la piscine, dans un parc aquatique ou pratiquer des activités sportives (ex : scooter des mers, plongée, surf…).

L’entreprise australienne est propriétaire de plusieurs enregistrements de marque pour SEAFOLLY. Ils sont protégés dans de nombreuses juridictions à travers le monde. C’est notamment le cas en Chine où réside le titulaire du nom de domaine litigieux.

La société possède les noms de domaine <seafolly.com> et <seafolly.com.au>. Ils sont utilisés comme une plateforme de publicité et d’informations sur la marque. Les noms sont aussi utilisés comme une boutique en ligne.

Les maillots de bain Seafolly sont vendus dans plus de 500 magasins multimarques en Australie. Ils le sont aussi dans plus de 1 700 points de vente à travers le monde.

Un cybersquatteur a pourtant enregistré le nom de domaine litigieux <seafollypromo.com> le 3 mars 2022.

Des maillots de bain Seafolly vendus sur un faux site web

En conséquence, la marque de maillots de bain féminins Seafolly a engagé une procédure extrajudiciaire « UDRP » numéro D2022-3388 devant l’OMPI.

Lorsque la marque est reconnaissable dans le nom de domaine litigieux, l’ajout d’autres termes n’empêche pas de conclure à une similitude prêtant à confusion. Dans ce cas, le terme « promo » (abréviation courante pour « promotion ») est fortement lié aux activités de vente au détail en ligne.

Par ailleurs, le nom de domaine litigieux héberge un site internet. Ce faux site vend des maillots de bain et des accessoires connexes. De plus, il imite la présentation du site web de la marque SEAFOLLY.

Il le fait en utilisant notamment une image de bannière d’un mannequin en tenue de plage sous les mots « SEAFOLLY COLLECTIVE ». Elle est stylisée de la même manière que sur le site officiel. En outre, certaines sous-catégories de « Collections » sont identiques à celles du vrai site Seafolly.

En conclusion, le faux site web vend des maillots de bain et des accessoires associés en référence à la marque SEAFOLLY, sans le consentement de la marque.

Cela indique une tentative de tirer profit de la réputation de la marque. Il essaye d’attirer les utilisateurs d’Internet à des fins commerciales. Ainsi, il crée un risque de confusion avec la marque. L’internaute peut douter de la source, du parrainage, de l’affiliation ou de l’approbation du faux site par la marque.

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