Archives des Phishing - Faux.fr https://faux.fr/tag/phishing/ Actualités sur l'anti-contrefaçon et le phishing : faux emails, faux sites web Wed, 21 May 2025 16:14:57 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.1 https://faux.fr/wp-content/uploads/2020/04/cropped-logo-faux-32x32.png Archives des Phishing - Faux.fr https://faux.fr/tag/phishing/ 32 32 Un stratagème de phishing vise TechCrunch https://faux.fr/phishing/phishing-techcrunch/ Wed, 21 May 2025 07:22:38 +0000 https://faux.fr/?p=2364 Le FORUM (NAF) a tranché contre l’usage frauduleux du nom de domaine , enregistré et utilisé pour usurper l'identité du célèbre média technologique TechCrunch dans un stratagème de phishing.

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Le FORUM (NAF) a tranché contre l’usage frauduleux du nom de domaine <tech-crunch.digital>, enregistré et utilisé pour usurper l’identité du célèbre média technologique TechCrunch dans un stratagème de phishing.

TechCrunch : un acteur majeur de l’actualité technologique

TechCrunch, accessible à l’adresse techcrunch.com, constitue une référence mondiale dans la couverture de l’innovation, des startups et de l’investissement technologique.

Fondé en 2005 et aujourd’hui propriété de Yahoo!, ce média informe chaque jour des millions de lecteurs sur les tendances clés du numérique. Il joue un rôle central dans l’écosystème technologique mondial. Dans ce sens, cela en fait une cible fréquente pour les opérations malveillantes de type phishing.

Le nom de domaine <tech-crunch.digital> au cœur d’un stratagème de phishing contre TechCrunch

Le nom de domaine <tech-crunch.digital> a été enregistré en juillet 2023 par un tiers non autorisé. Ce nom de domaine reprend de manière quasi-identique la marque TechCrunch. Elle ajoute ainsi un simple tiret.

Déposé dans une nouvelle extension générique, le .DIGITAL, le nom de domaine est susceptible d’induire en erreur les internautes.

Le site associé à ce nom de domaine imite l’apparence du site officiel de TechCrunch.

Il reprend ses couleurs, sa structure et des contenus copiés afin de duper les visiteurs. Ce site frauduleux a servi à collecter illégalement des données personnelles, notamment à travers de faux formulaires ou des propositions trompeuses d’emploi ou de partenariat.

Ce mode opératoire relève clairement du phishing, en exploitant l’image de confiance d’une marque reconnue pour tromper les utilisateurs.

Une décision UDRP contre ce cas de phishing contre TechCrunch

Face à cette usurpation, TechCrunch Inc. a saisi le Forum national d’arbitrage (NAF) en vertu de la procédure UDRP, sous la référence FA2307002053126. Le panel a rapidement rendu sa décision.

L’expert a appliqué les trois critères de la politique UDRP :

  1. Le nom de domaine est confusément similaire à une marque enregistrée.
  2. Le défendeur ne détient aucun droit ni intérêt légitime sur le nom de domaine.
  3. Le nom de domaine a été enregistré et utilisé de mauvaise foi.

Le panel a constaté que le site frauduleux a ainsi epris l’identité visuelle de TechCrunch, sans justification ni autorisation. L’objectif a été clairement de tromper les internautes. Le défendeur n’a fourni aucune réponse ni justification. En conséquence, le panel a ordonné le transfert du nom de domaine à TechCrunch Inc.

Les cybersquatteurs misent sur la notoriété des grandes marques pour créer des variantes trompeuses de noms de domaine. Ils s’en servent pour piéger les internautes, subtiliser des informations sensibles ou diffuser des contenus frauduleux.

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Alerte aux faux bons de commande Leclerc https://faux.fr/phishing/usurpation-identite-mail/alerte-aux-faux-bons-de-commande-leclerc/ Fri, 09 May 2025 03:13:58 +0000 https://faux.fr/?p=2354 Les faux bons de commande Leclerc continuent de proliférer, mettant en danger la sécurité des fournisseurs et partenaires du groupe. Ce dernier se défend âprement comme dans cette récente décision extrajudiciaire UDRP OMPI d'avril 2025.

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Les faux bons de commande Leclerc continuent de proliférer, mettant en danger la sécurité des fournisseurs et partenaires du groupe. Ce dernier se défend âprement comme dans cette récente décision extrajudiciaire UDRP. Elle a été rendue par l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) en avril 2025.

Cette affaire illustre une nouvelle tentative de fraude par usurpation d’identité. Elle vise à tromper des tiers en se faisant passer pour des entités officielles du groupement E.Leclerc.

L’ACDLec : pilier du Mouvement E.Leclerc

L’Association des Centres Distributeurs E.Leclerc (ACDLec) est une entité centrale du Mouvement E.Leclerc. Elle coordonne ainsi les activités de plus de 750 magasins en France et environ 100 autres en Europe.

Fondée il y a plus de 70 ans, elle joue un rôle clé dans la stratégie commerciale du groupe. Elle supervise notamment les relations avec les fournisseurs. Dans ces conditions, l’ACDLec assure la cohérence des opérations à travers les différentes enseignes. Son affiliation avec la Société Coopérative Groupements d’Achats des Centres Leclerc (SC Galec) renforce son influence dans la négociation des conditions commerciales au bénéfice des adhérents.

Le nom de domaine <galec-leclerc.org> utilisé dans une fraude sophistiquée

Dans l’affaire UDRP D2025-0855, le nom de domaine <galec-leclerc.org> a été enregistré le 25 février 2025. Le titulaire est un individu basé aux États-Unis. Ce nom de domaine a été utilisé pour envoyer des courriels frauduleux. Ils ont été prétendument émis par SC Galec. Ils ont demandé à des partenaires commerciaux de modifier leurs coordonnées bancaires pour le paiement de factures. Les courriels, envoyés depuis des adresses telles que « […]@galec-leclerc.org », ont imité les communications officielles du groupe. Ils ont ainsi induit en erreur les destinataires. En effet, ils ont été incité à effectuer des virements vers des comptes frauduleux.

La commission administrative de l’OMPI a conclu que le nom de domaine litigieux a reproduit les marques bien connues LECLERC et GALEC. De plus, il a été enregistré et utilisé de mauvaise foi. Le défendeur n’ayant en plus pas répondu à la plainte, le transfert du nom de domaine au profit de l’ACDLec a été ordonné.

Des précédents cas autour de <soc-galec.com> et <eleclerc-achats.com>

Cette affaire n’est pas isolée. En 2024, le nom de domaine <soc-galec.com> a été utilisé pour des activités similaires de phishing. Il a ainsi usurpé l’identité de SC Galec pour passer de fausses commandes auprès de fournisseurs.

Le nom de domaine a même redirigé vers une page exploitée par l’Association des Centres Distributeurs E.Leclerc. Il a ainsi renforcé l’illusion d’authenticité. La décision UDRP D2024-1419 a également conclu à une utilisation frauduleuse. En conséquence, le transfert du nom de domaine a été ordonné.

En 2023, le nom de domaine <eleclerc-achats.com> a aussi servi à envoyer des courriels frauduleux signés « Responsable Achats chez GALEC – Groupement d’Achats E. LECLERC ». Il a alors sollicité des commandes de marchandises. Là encore, l’OMPI a reconnu l’usage abusif de la marque et a statué en faveur de l’ACDLec dans la décision D2023-3626.

Vigilance et prévention contre les faux bons de commande Leclerc : les recommandations du groupe

Face à la recrudescence de ces tentatives de fraude, le groupe E.Leclerc appelle à la plus grande vigilance. Les entités telles que le GALEC ne passent aucune commande par e-mail ou téléphone sans vérification préalable. En cas de doute sur l’authenticité d’une communication, il est recommandé de contacter directement les services officiels via les sites institutionnels.

Pour en savoir plus sur les précédentes affaires d’usurpation d’identité visant le groupe Leclerc, vous pouvez consulter un article détaillé sur une affaire similaire de 2020 sur faux.fr.

Dans toutes ces procédures UDRP victorieuses, le groupe E.Leclerc a été représenté par le cabinet juridique français MIIP – MADE IN IP. Spécialisé en propriété intellectuelle, ce cabinet a su défendre efficacement les intérêts du groupe face aux tentatives d’usurpation et de fraude. Pour plus d’informations sur leurs services, vous pouvez visiter leur site officiel : miip.fr.

La multiplication des cas de faux bons de commande Leclerc souligne l’importance d’une vigilance accrue et d’une protection renforcée des marques et identités commerciales. Les entreprises doivent rester attentives aux communications suspectes et mettre en place des procédures de vérification rigoureuses pour prévenir les tentatives de fraude.

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Les casinos Partouche ciblés par une opération de phishing en France https://faux.fr/phishing/casinos-partouche-phishing-france/ Fri, 11 Apr 2025 03:49:25 +0000 https://faux.fr/?p=2314 Le groupe français Partouche remporte une procédure extrajudiciaire contre un nom de domaine utilisé pour un site de phishing imitant l’entreprise de casino.

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Le groupe français Partouche remporte une procédure extrajudiciaire contre un nom de domaine utilisé pour un site de phishing imitant l’entreprise de casino.

Dans une décision rendue début 2025 (affaire UDRP n° D2024-4991), l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) a ordonné le transfert du nom de domaine <partouche-fr.com> au profit du groupe français Partouche.

Le site litigieux a utilisé frauduleusement la marque PARTOUCHE pour proposer des services de casino en ligne. Cette affaire de phishing visant Partouche illustre une nouvelle fois l’intérêt des procédures extrajudiciaires en matière de cybersquatting.

Le Groupe Partouche, un acteur majeur du secteur des casinos en France

Créé il y a plus de cinquante ans, le Groupe Partouche est aujourd’hui l’un des leaders du secteur des loisirs et des jeux en France. Il exploite de nombreux établissements de jeux, hôtels, spas et restaurants dans plusieurs pays européens. Le groupe est notamment connu pour ses casinos emblématiques comme ceux de Nice, Lyon ou encore Aix-en-Provence. À travers son site officiel groupe.partouche.com, l’entreprise valorise son patrimoine, ses innovations dans les jeux d’argent et sa responsabilité sociétale. Elle détient la marque déposée PARTOUCHE, enregistrée en France depuis 2006.

Une tentative d’usurpation d’identité numérique sanctionnée

Dans cette affaire, le nom de domaine litigieux <partouche-fr.com> a été enregistré le 20 mars 2024 par une personne résidant en Ukraine. Le site en question imite l’identité visuelle du groupe Partouche. Il propose alors des jeux de casino en ligne. De plus, il reprend non seulement la marque PARTOUCHE, mais aussi l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro d’enregistrement, l’URL et même le logo officiel du groupe. Enfin, aucun lien n’existe entre le titulaire du domaine et la société plaignante.

Dans ces conditions, le panel de l’OMPI a estimé que ce nom de domaine porte atteinte aux droits de la marque PARTOUCHE. L’ajout du terme “-fr” ne suffit pas à éliminer le risque de confusion, d’autant plus que le site a été conçu pour tromper les internautes en se faisant passer pour le véritable groupe Partouche. En France, les jeux de casino en ligne sont par ailleurs interdits, renforçant l’illégalité de cette utilisation.

Phishing contre Partouche : un usage de mauvaise foi confirmé

L’OMPI a rappelé qu’utiliser un nom de domaine pour des activités illégales – ici l’usurpation d’identité et l’offre de services non autorisés – ne peut en aucun cas constituer un usage légitime. Le comportement du titulaire démontre une volonté délibérée d’exploiter la notoriété de la marque pour en tirer un profit commercial. Ce type de phishing ciblé, impliquant des marques bien établies comme PARTOUCHE, est typiquement qualifié de cybersquatting de mauvaise foi.

Face à ces éléments, le panel a ordonné le transfert du nom de domaine <partouche-fr.com> au Groupe Partouche, mettant fin à une tentative claire de phishing à l’encontre d’un acteur reconnu du secteur des casinos. Cette décision confirme l’importance pour les titulaires de marques de surveiller activement les noms de domaine et de réagir rapidement en cas d’atteinte à leurs droits

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Opération de phishing contre la holding de la maison d’enchères Drouot https://faux.fr/phishing/usurpation-identite-mail/phishing-holding-maison-encheres-drouot-patrimoine/ Fri, 28 Mar 2025 02:43:35 +0000 https://faux.fr/?p=2258 Drouot Patrimoine a remporté une procédure extrajudiciaire « UDRP » contre un nom de domaine utilisé pour du phishing.

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Drouot Patrimoine a remporté une procédure extrajudiciaire « UDRP » contre un nom de domaine <drouot-patrimoine.com> utilisé pour du phishing.

Ce litige a révélé une opération de phishing sophistiquée visant des investisseurs potentiels. Le fraudeur, se faisant passer pour un employé de Drouot, a utilisé des documents officiels falsifiés pour inciter des tiers à investir dans des biens immobiliers fictifs.

Fondée en 1852, Drouot est l’une des plus anciennes et prestigieuses maisons de ventes aux enchères en France. Située à Paris, elle est une référence dans le domaine des enchères publiques. Son expertise couvre divers secteurs, notamment l’art, les objets de collection et l’immobilier. Drouot est une institution respectée qui attire des acheteurs et des vendeurs du monde entier.

L’escroc à l’origine du phishing a enregistré le nom de domaine <drouot-patrimoine.com> en mars 2023.

Des e-mails ont été envoyés à des investisseurs potentiels, présentant de fausses opportunités d’investissement dans le logement étudiant en Europe.

Ces messages contenaient des informations détaillées sur l’entreprise, telles que son numéro de TVA, son adresse et le nom de son président. A ce titre, ces éléments ont renforcé ainsi l’illusion de l’authenticité de ces courriels.

Des victimes alertent Drouot de l’opération de phishing

Deux victimes potentielles ont alerté Drouot, ce qui a permis de détecter cette fraude. Immédiatement, Drouot Patrimoine a déposé plainte auprès de la police française. De plus, l’entreprise a engagé une procédure « UDRP » numéro D2023-2410 devant l’OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle) pour récupérer le nom de domaine litigieux.

L’expert OMPI a conclu que le nom de domaine <drouot-patrimoine.com> a été utilisé de mauvaise foi. L’ajout du mot « patrimoine » à « Drouot » ne modifie pas la similarité avec la marque déposée DROUOT. L’escroc n’a aucun droit légitime sur ce nom. De plus, il cherche clairement à exploiter la renommée de la maison de ventes aux enchères.

Le nom Drouot Patrimoine correspond au nom de la holding de la maison d’enchères. Le fraudeur a profité que l’entreprise n’enregistre pas ses noms de domaine pourtant naturels pour les déposer à des fins de phishing visant Drouot.

La décision a donc tranché en faveur de Drouot Patrimoine, ordonnant le transfert du nom de domaine. Depuis la décision, <drouot-patrimoine.com> n’a pas été renouvelé. En conséquence, un tiers malveillant peut à nouveau le déposer à des fins frauduleuses.

Cette affaire souligne l’importance de la vigilance face aux tentatives de phishing. Il est ainsi nécessaire pour les entreprises de surveiller l’utilisation de leur marque sur Internet.

Le phishing ciblant Drouot Patrimoine illustre les risques croissants de l’usurpation d’identité en ligne. Cette affaire met en lumière l’importance de la protection des marques et de la sensibilisation des investisseurs aux pratiques frauduleuses.

Pour éviter de telles escroqueries, il est essentiel de vérifier l’authenticité des communications et de signaler toute activité suspecte aux autorités compétentes.

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Lutte contre le phishing ciblant DEKRA : analyse de deux décisions UDRP https://faux.fr/phishing/usurpation-identite-mail/phishing-dekra-udrp/ Thu, 20 Mar 2025 01:24:07 +0000 https://faux.fr/?p=2284 Le phishing est une menace croissante pour les entreprises, notamment pour DEKRA, leader mondial de l'inspection, de la certification et des services liés à l'automobile, au transport et à l'industrie.

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Le phishing est une menace croissante pour les entreprises, notamment pour DEKRA, leader mondial de l’inspection, de la certification et des services liés à l’automobile, au transport et à l’industrie.

Fondée en 1925 en Allemagne, DEKRA compte aujourd’hui plus de 49 000 employés dans une soixantaine de pays. En France, DEKRA offre une gamme complète de services, allant du contrôle technique des véhicules à la certification industrielle.

C’est d’ailleurs la France qui a été ciblé dans deux affaires rendues en janvier 2025. Des noms de domaine associant la marque DEKRA à contrôle ou France ont été utilisés pour de l’usurpation d’identité par mail.

Dans l’affaire D2024-5226, DEKRA SE a déposé une plainte contre une personne domiciliée en France et titulaire du nom de domaine <controle-dekra.com>. Ce nom de domaine a été enregistré le 24 octobre 2024. Il ne renvoye à aucun site actif.

Cybersquatting pour du phishing visant DEKRA

Cependant, il a été utilisé dans une campagne de phishing visant à usurper l’identité de DEKRA pour collecter des informations personnelles.

Le panel a conclu que le nom de domaine était identique ou similaire au point de prêter à confusion avec la marque DEKRA. Il a également été établi que la défenderesse n’avait aucun droit ou intérêt légitime sur le nom de domaine. Dans ces conditions, il a été enregistré et utilisé de mauvaise foi. En conséquence, le panel a ordonné le transfert du nom de domaine à DEKRA SE.

Dans l’autre affaire numéro D2024-5205, DEKRA SE a engagé une plainte contre un autre particulier. Cette fois, ce dernier est résident aux États-Unis et titulaire du nom de domaine <dekrafrance.com>.

Ce nom de domaine a été enregistré le 14 octobre 2024. Il a donc été déposé 10 jours avant l’autre nom de domaine cybersquatté. Dans ce cas aussi, il n’y a pas de site web actif associé.

Néanmoins, il a été utilisé dans une tentative de phishing visant à obtenir des documents d’identité et des informations personnelles en se faisant passer pour DEKRA. Dans ce litige aussi, le panel a accordé le transfert du nom de domaine à DEKRA SE.

Ces deux décisions illustrent les mesures que DEKRA prend pour protéger sa marque contre les activités de phishing. Elles soulignent également l’importance pour les entreprises de surveiller activement l’utilisation de leur marque sur Internet. Elles peuvent alors agir rapidement contre les enregistrements de noms de domaine abusifs.

La procédure UDRP s’avère être un outil efficace pour lutter contre de tels abus. Elle permet ainsi de maintenir la confiance des clients envers des entreprises comme DEKRA.

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Un site du service public ciblé par du phishing https://faux.fr/phishing/phishing-service-public/ Fri, 14 Mar 2025 02:16:04 +0000 https://faux.fr/?p=2246 Le phishing ciblant le service public est un phénomène préoccupant. Une récente affaire a mis en lumière une tentative de fraude via le nom de domaine .

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Le phishing ciblant le service public est un phénomène préoccupant. Une récente affaire a mis en lumière une tentative de fraude via le nom de domaine <demarches-service-public.info>.

L’État français a engagé une procédure extrajudiciaire « UDRP » numéro D2023-2172 contre ce nom de domaine litigieux.

La commission administrative de l’OMPI observe que la plainte a été déposée en français. En effet, le nom de domaine litigieux renvoie les internautes vers un site rédigé en français. Cela donne lieu de croire que le cybersquatteur comprend cette même langue. Ainsi, exiger la traduction de la plainte en anglais créerait une charge excessive L’État français et un délai injustifié dans la procédure.

Un site frauduleux de phishing imitant un service public

Le nom de domaine litigieux a été enregistré en mars 2023. Très rapidement, il a redirigé vers un site ressemblant au portail officiel de l’administration française <service-public.fr>.

Ce faux site propose aux internautes de fournir leurs données personnelles pour obtenir un certificat de situation administrative (CSA).

Son apparence, notamment son logo, reprend alors des éléments visuels et textuels proches de ceux de la marque officielle. Toutefois, des modifications subtiles révèlent son caractère frauduleux, comme le remplacement du profil de Marianne par une carte de France.

Une atteinte aux droits de l’État français

L’État français détient la marque « SERVICE-PUBLIC.FR LE SITE OFFICIEL DE L’ADMINISTRATION FRANÇAISE » depuis 2011. L’utilisation non autorisée de cette marque, combinée à un site demandant des informations personnelles, démontre une volonté de tromper les internautes.

Le Défendeur, identifié sous le prénom « Saskia », a dissimulé son identité et utilisé des coordonnées suspectes. Cela renforce donc les soupçons de mauvaise foi.

Le phishing via ce faux service public est manifeste. En imitant un site officiel, l’escroc a cherché à abuser de la confiance des internautes.

Le risque de fraude et de vol de données a été élevé.

Cette affaire illustre l’importance de vérifier l’authenticité des sites avant de transmettre des données personnelles. Le phishing ciblant les services publics est une menace sérieuse nécessitant vigilance et des actions juridiques fermes.

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Des sous-domaine utilisés pour du phishing ciblant Facebook https://faux.fr/phishing/sous-domaines-phishing-facebook/ Thu, 06 Mar 2025 15:43:08 +0000 https://faux.fr/?p=2262 Un litige jugé le 3 mars 2025 et opposant Meta Platforms, Inc. à un individu indonésien, met en lumière une affaire de phishing à base sous-domaines visant Facebook.

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Un litige jugé le 3 mars 2025 et opposant Meta Platforms, Inc. à un individu indonésien, met en lumière une affaire de phishing à base sous-domaines visant Facebook.

Le cybersquatteur a enregistré les noms de domaine <facebook-guidelines.com> et <facebook-safe.com>. Ils ont été utilisés pour tromper les utilisateurs de Facebook en reproduisant son identité visuelle.

Cet usage vise à récupérer frauduleusement les identifiants de connexion des internautes.

Meta Platforms et la protection de Facebook contre le phishing

Meta Platforms, Inc. est une entreprise technologique américaine de premier plan. Créée en 2004, elle exploite plusieurs réseaux sociaux et plateformes de communication. Parmi ses services, Facebook demeure l’un des réseaux sociaux les plus populaires. Il compte encore plus de 3 milliards d’utilisateurs actifs chaque mois. La société possède plusieurs marques déposées, dont « FACEBOOK », protégée dans plusieurs juridictions comme les États-Unis et l’Union européenne.

Dans cette affaire, Meta a démontré que les noms de domaine litigieux portent à confusion avec sa marque. Les termes « guidelines » et « safe » n’altérent pas la similarité, rendant l’utilisation trompeuse. De plus, Meta n’a jamais autorisé l’utilisation de sa marque par le défendeur.

Un cas manifeste de phishing via des sous-domaines

Avant l’engagement des poursuites, les sous-domaines <page.facebook-guidelines.com> et <page.facebook-safe.com> ont redirigé vers un site frauduleux.

Ce dernier affiche alors le logo de Facebook. Il informe les visiteurs que leur compte est restreint pour violation des règles communautaires.

Un bouton « request review » est présent pour inciter les utilisateurs à fournir leurs identifiants. Ce cas d’hameçonnage imite une plateforme de confiance pour dérober des informations sensibles.

Dans cette procédure extrajudiciaire « UDRP » numéro D2025-0214, l’expert OMPI a reconnu que le défendeur a enregistré et utilisé les noms de domaine en mauvaise foi. En se faisant passer pour Meta, l’objectif a été d’exploiter la notoriété de Facebook à des fins frauduleuses.

Les instances de résolution des litiges sur les noms de domaine considèrent systématiquement le phishing comme un usage illicite. Par conséquent, l’OMPI a ordonné le transfert des domaines à Meta Platforms.

Cette affaire illustre les risques liés à l’utilisation de sous-domaine pour du phishing et l’importance de la protection des marques en ligne. Meta Platforms continue d’agir contre ces tentatives d’usurpation pour préserver l’intégrité de ses services et la sécurité de ses utilisateurs.

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Arnaque au faux concessionnaire BMW https://faux.fr/phishing/usurpation-identite-mail/faux-concessionnaire-bmw/ Fri, 24 Jan 2025 03:56:53 +0000 https://faux.fr/?p=2194 Une escroquerie au faux concessionnaire a ciblé la marque automobile BMW. Le fabricant déploie l’usage de son « Brand TLD » .BMW contre ces actions de phishing.

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Une escroquerie au faux concessionnaire a ciblé la marque automobile BMW. Le fabricant déploie l’usage de son « Brand TLD » .BMW contre ces actions de phishing.

Fondée en 1916, Bayerische Motoren Werke (BMW) est un important fabricant d’automobiles. Il produit également des motos. Comme les bicyclettes, les motos sont souvent appelées familièrement « bikes » en anglais.

Les véhicules sont vendus sous la marque BMW. Elle est déposée dans de nombreux pays. C’est notamment le cas en Inde, pays où a eu lieu cette au faux concessionnaire BMW.

L’entreprise allemande commercialise ses véhicules dans plus de 140 pays. A cet égard, elle possède des centres de vente et de service dans plusieurs villes indiennes, dont Pune (ville du fraudeur).

Par ailleurs, la marque BMW a été reconnue à plusieurs reprises comme l’une des 100 plus grandes marques au monde.

De plus, la société allemande exploite un site web sous le nom de domaine <bmw.com>. Par ailleurs, elle possède de nombreux autres noms de domaine notamment <bmw.in> pour l’Inde.

Enfin, BMW a également une forte présence sur les réseaux sociaux.

Pourtant, un fraudeur a enregistré le nom de domaine litigieux <bmw-bike.org> en 2023.

Le nom de domaine ne correspond pas actuellement à un site web actif. Cependant, le nom de domaine est utilisé pour des activités frauduleuses en contactant le public par le biais de courriers électroniques.

Il faut rappeler qu’un monitoring SecURL permet de surveiller ainsi l’usage mail d’un nom de domaine inactif au niveau web.

Faux concessionnaire BMW en Inde

En conséquence, la marque automobile a engagé une procédure extrajudiciaire « UDRP » numéro D2023-1698 auprès de l’OMI.

En effet, le nom de domaine a été utilisé pour atteindre des personnes en Inde par courrier électronique. Ces messages proposent alors de fausses concessions de motos BMW pour le marché indien.

Dans un courrier électronique, l’escroc se présente comme une filiale indienne de BMW.

Le courrier électronique fait explicitement référence à BMW INDIA PVT. LTD, qui est la filiale indienne officielle de BMW.

L’idée derrière cette fausse offre est évidemment de tromper les gens pour qu’ils transfèrent de l’argent au fraudeur sans rien recevoir en retour

L’activité frauduleuse devient encore plus évidente à partir des pièces jointes associées aux faux mails.

Une pièce jointe contient un faux catalogue de motos BMW utilisant les célèbres logos BMW sans aucune autorisation de la marque.

Une autre est un faux formulaire de demande de concession BMW qui est utilisé pour solliciter ou « hameçonner » les informations confidentielles des cibles de l’arnaque.

Afin de lutter contre les cas de phishing, BMW a obtenu la création d’une extension internet personnalisée pour avoir ses propres noms de domaine en .BMW.

Dans une étude de Solidnames sur l’usage des .MARQUES, le « Brand TLD » .BMW apparaît être utilisé pour certifier son réseau de distribution. La marque automobile l’utilise pour l’instant uniquement en Allemagne.

Face aux cas de cybersquatting la visant, BMW utilise aussi régulièrement les mécanismes « UDRP ». Elle a notamment obtenu la fermeture d’un site web de vente de contrefaçon d’accessoires de sa marque BMW.

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Des noms de domaine contenant job pour de fausse offre d’emploi Guess https://faux.fr/phishing/fausse-offre-emploi/jobs-fausse-offre-emploi-guess/ Fri, 17 Jan 2025 05:51:32 +0000 https://faux.fr/?p=2182 La marque de mode américaine Guess fait face à plusieurs usurpations d’identité par email utilisées pour diffuser de fausse offre d’emploi.

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La marque de mode américaine Guess fait face à plusieurs usurpations d’identité par email utilisées pour diffuser de fausse offre d’emploi.

Il faut rappeler que Guess? a débuté en 1981 en tant que petite entreprise de jeans californienne. Malgré ses humbles débuts, la société est devenue une marque de style de vie mondiale.

Si les jeans restent le fondement de l’histoire et du succès de l’entreprise, la marque conçoit, commercialise et distribue ses collections complètes de vêtements pour femmes et hommes aux États-Unis, au Canada et dans le monde entier.

Au début des années 1980, Guess? s’est rapidement intégrée dans la culture populaire. A ce titre, elle est devenue une icône de cette génération. Elle a créé des campagnes publicitaires révolutionnaires mettant en vedette des mannequins sexy et sensuels jusque-là inconnus dans l’industrie. Elle les a ainsi transformés en superstars du jour au lendemain. Des mannequins tels que Claudia Schiffer, Eva Herzigova, Laetitia Casta, Carla Bruni et Naomi Campbell ont lancé leur carrière dans les campagnes originales de Guess?.

Dans les années 1980, la gamme de produits Guess? s’est étendue au-delà des jeans pour hommes et femmes . Elle a notamment inclus des vêtements pour bébés, des montres, des chaussures, des lunettes et des parfums.

Les années 1990 ont vu une expansion rapide de la marque, en Europe, en Asie, en Amérique du Sud, en Afrique, en Australie et au Moyen-Orient.

En 1995, Guess? a étendu ses activités de vente en lançant un site de commerce électronique sur <guess.com>. De plus, Guess? revendique des droits sur la marque GUESS par le biais de son enregistrement aux États-Unis en 1987. La marque est aussi enregistrée ailleurs dans le monde et elle est notoire.

Une notoriété qui attire les fraudeurs…

Une fausse offre d’emploi Guess proposée par le DRH

Ainsi, un fraudeur a déposé le nom de domaine  <guessjobs.store>. La marque de mode a engagé la procédure extrajudiciaire UDRP numéro FA2310002066845 auprès du FORUM.

En effet, le nom de domaine litigieux est pratiquement identique et similaire au point de prêter à confusion à la marque GUESS. Dans ce sens, il comprend la marque dans son intégralité. Il ajoute simplement le terme générique/descriptif « jobs ».

Si le nom de domaine litigieux ne renvoie pas à une page web active, il est quand même utilisé !

Le cybersquatteur l’utilise pour transmettre des courriers électroniques prétendant faussement provenir de Guess?.

Par exemple, il a contacté une personne qui avait créé un profil sur le site Web de recherche d’emploi <indeed.com>. Il a alors utilisé l’adresse électronique info@guessjobs.store dans cette correspondance.

Il a également signé l’e-mail avec le nom du directeur des ressources humaines de Guess.

Dans ce litige, l’escroc s’est livré à une fraude par hameçonnage par courrier électronique, tentant de se faire passer pour Guess.

Plusieurs arnaques à la fausse offre d’emploi chez Guess

Un autre litige numéro FA2311002069422 a porté sur le nom de domaine<guessincjobs.store>. Dans ce cas aussi, il est similaire au point de prêter à confusion à la marque GUESS. En effet, il intègre la marque dans son intégralité tout en ajoutant les termes génériques « inc » et « jobs ».

Dans cette affaire, le fraudeur a utilisé le nom de domaine litigieux en lien avec une adresse électronique pour se faire passer pour un employé Guess?.

Il tente alors d’organiser de faux entretiens d’embauche en se faisant passer pour un employé de Guess.

Dans le litige numéro FA2310002067592, le nom de domaine <guessjobs.us> a été utilisé pour un cas similaire.

L’adresse comprend toujours le terme jobs associé à Guess pour rendre la fausse offre d’emploi crédible.

Dans ce litige aussi, le cybersquatteur a également enregistré et utilise le nom de domaine de mauvaise foi pour mener une opération de phishing.

L’enregistrement du nom de domaine litigieux dans l’intention de se faire passer pour Guess et de solliciter des informations personnelles perturbe l’activité de la marque.

Ces différentes procédures extrajudiciaires montrent comme Guess? essaie de lutter contre ces tentatives d’escroquer les demandeurs d’emploi.

La marque de mode est une habituée des procédures UDRP. Cependant, elle utilise plus souvent cette solution anti-contrefaçon. En 2022, Guess a ainsi gagné plus de 35 procédures contre des sites de contrefaçon.

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Quand le site contrefait de YMI Jeans hameçonne les informations financières des internautes https://faux.fr/contrefacon/anti-contrefacon-vetements-marque/ymi-jeans/ Tue, 19 Nov 2024 05:25:13 +0000 https://faux.fr/?p=2133 La marque de jeans YMI fait fermer un faux site web utilisé pour hameçonner les informations personnelles et financières des internautes lors de l’achat de ces produits.

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La marque de jeans YMI fait fermer un faux site web utilisé pour hameçonner les informations personnelles et financières des internautes lors de l’achat de ces produits.

YMI est un pionnier de la mode accessible depuis le début des années 2000. Fondée à Los Angeles aux Etats-Unis, YMI a gagné en popularité durant les années 2000 en tant que marque de référence pour les jeans tendance et économiques. Depuis, la société a pour mission de permettre aux femmes de se sentir et de paraître au mieux avec un denim qui transcende la qualité, le style et la coupe parfaite.

La société de jeans et de vêtements contemporains détient des droits sur la marque YMI grâce à son enregistrement auprès de l’Office des brevets et des marques des États-Unis (« USPTO »).

Pourtant un tiers chinois a enregistré le nom de domaine <ymijeansale.com>. A ce titre, il est identique ou similaire au point de prêter à confusion avec la marque de jeans YMI. L’ajout de termes générique ou descriptif comme « jean » ou « sale » ne permet pas de distinguer suffisamment un nom de domaine litigieux d’une marque.

Dans ces conditions, les jeans YMI ont engagé une procédure extrajudiciaire « UDRP » numéro FA2301002028310. Ils l’ont fait auprès du FORUM américain.

En effet, le cybersquatteur n’a pas été autorisé par la compagnie de jeans à utiliser la marque YMI. De plus, il n’a pas utilisé le nom de domaine litigieux dans le cadre d’une offre de bonne foi de biens ou de services.

Contrefaçon et phishing contre les jeans YMI

Au contraire, il se fait passer pour les jeans YMI en proposant à la vente des versions contrefaites des vêtements. De plus, il utilise le nom de domaine litigieux pour hameçonner des informations personnelles et financières lors de l’achat de ces produits.

L’utilisation d’un nom de domaine litigieux pour se faire passer pour une marque dans le but de vendre sans autorisation des produits contrefaits ne peut pas constituer une offre de bonne foi de biens ou de services ou une utilisation non commerciale ou équitable légitime.

Dans ce litige, YMI fournit des captures d’écran du nom de domaine litigieux demandant des informations personnelles et financières aux utilisateurs.

Ainsi, le fraudeur a enregistré et utilise le nom de domaine <ymijeansale.com> de mauvaise foi. Le faux site web attire les utilisateurs à des fins commerciales vers le nom de domaine litigieux en semant la confusion quant au propriétaire du site.

De plus, le contrefacteur a une connaissance réelle des droits de la société de jeans sur la marque YMI avant d’enregistrer le nom de domaine litigieux. Il faut noter que le site contrefait a directement copié des images du site officiel de la marque.

Ce n’est pas la première fois qu’une marque de jeans remporte une procédure extrajudiciaire contre des noms de domaine litigieux. Dans les colonnes de faux.fr, nous avons notamment déjà traité d’affaires contre les jeans Paige ou Pepe Jeans.

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